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Les billets artistiques

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Depuis l’ouverture de la Galerie Noir et Blanc en mai 2018, de nombreux écrivains ont assumé la tâche difficile de présenter nos expositions.

Un défi la plupart du temps relevé à l'aveugle, sans avoir vu les expositions.

Les plasticiens et leurs œuvres, transcendés par leurs mots rivaux, en sortent magnifiés.

Cette nouvelle page nous permet de regrouper ces billets artistiques qu’ils nous offrent ...  et nous ont offerts.
Nous les remercions de cette expérience inattendue et délicieuse à laquelle leur talent nous donne accès depuis six ans.

Par ordre alphabétique, les noms de celles et ceux qui ont écrit pour les expositions de la Galerie :  Sylvie Béard, Antoine Belloni, Michel Bourhis-Massoni, André Casabianca, Robert Colonna d’Istria, Michèle Corrotti, Jean-Charles Costa, Denis Filippi,

Nadia Galy, Jean-Pierre Girolami, Ange-Mathieu Mezzadri, Thierry Ottaviani,

Jean-François Bernardini, Philippe Peretti.

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Ces billets artistiques sont ouverts aux écrivains qui souhaitent présenter les expositions.

Ce qui frappe d’abord chez Jean-Marie Zacchi, c’est cette manière d’hésitation oscillant entre le geste
figuratif et l’abstraction qui l’enveloppe sans imposer de choix définitif, comme si une timidité, voire une pudeur ancienne, demeuraient en lui d’une enfance villageoise que nombre d’insulaires ont
également connue.

— Jacques Fusina.

Anghjulu-Maria Costa.jpg

Quatre plasticiennes, quatre aspects d’une pépite, comme les quatre
directions cardinales issues d’une in-sondée matrice, ici d’un captivant
gynécée artistique ; quatre artistes donc, mais surtout quatre jalons
d’un subtil voyage émotif que la Galerie Noir et Blanc nous convie à
accomplir.

— Ange - Matthieu Mezzadri.

Adel Akremy.jpg

La conteuse, le bénédictin et le scaphandrier.

Un titre de fable pour évoquer la rencontre
insolite
que vous propose à partir du 1 er décembre la galerie Noir et Blanc.

Celle de mondes totalement différents

allant de l’infiniment

petit à l’indéfiniment

grand, du fantastique

au quotidien.

— Michèle Corrotti.

Les yeux de José Pini ont dû s’ouvrir un jour sur la beauté d’un village aux pierres grises, sur
ces murs de pierres scellées par l’argile et la sueur des hommes. Très tôt, ses mains ont dû toucher la peau de la terre, et le tissu des arbres. 
Il a dû les entendre dès l’enfance les mots des paysans qui ont érigé des moulins et des
fontaines, des pressoirs et des églises.

— Jean-François Bernardini.

François de Casabianca.jpg

« Juste avant l’aube », c’est ainsi qu’André Casabianca avait voulu intituler sa nouvelle exposition à la galerie Noir et Blanc.

Juste avant l’aube, c’est à

cet instant que le travail
créateur bascule de la nuit

à la lumière. Trois heures du matin, était pour Rimbaud « l’heure indicible », une phase de transition. Une pendule sur un des tableaux de l’exposition indique
trois heures moins cinq… Juste avant l’aube.

— Thierry Ottaviani.

André Casabianca.png

Comment voir les visions, les idées, les constructions autrement que par
la dissolution, la récréation pourquoi pas, l'irrréalité d'une fixation quelconque ?Et si tout est art, autre
sujet, l'art entretient-il un rapport avec ce qui se désigne comme tel ? Quant à notre exposition, c'est à
l'essentiel qu'elle va : le ton, les lignes, la forme, la couleur sont bien là, jusqu'à voir disparaître le motif.
Que regarder alors ?

— Ange-Laurent Bindi.

Bernard Cazaban-Mazerolles.jpg

Yan Lily nous fait partager son amour de la peinture traditionnelle chinoise. Finesse

du trait, harmonie des couleurs, délicatesse des motifs nous transportent dans une rêverie
poétique. Melda est dans une toute autre démarche. Après avoir tâté des arts déco, elle a
laissé s ‘exprimer son goût des couleurs, sa créativité, sa spontanéité, pour nous conter
son monde imaginaire.

— Michel Bourhis - Massoni.

Marie Charrel.jpg

Du profane, timide, qui franchit pour la première fois le seuil d’une galerie au spécialiste,
vieux baroudeur de l’Art, chaque visiteur vit une exposition

comme un voyage dans un

univers particulier.

Rencontrant parfois les codes traditionnels d’un mouvement ou, au contraire, l’innovation, chaque œil percevra l’œuvre avec sa propre expérience, sa culture et
sa sensibilité.

— Denis Filippi.

Bernard Filippi.png
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